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Ti darò quel fior

Au Festival des Arts de New York; “Io ti darò quel Fior”, interprété par Gennaro Cannavacciuolo, un spectacle splendide qui a dépassé 500 représentations.

Il Corriere della Sera, 1987

 

Même un assassin gentleman comme Gennaro Cannavacciuolo est le témoin d'un passé glorieux: le prototype du viveur, libertin et mauvais. Dans le respect parfait des règles de l'art.

La Repubblica, 23.12.87

 

Gennaro Cannavacciuolo restitue de manière excellente le scénario de cette vie, malade autant qu'exilarante, laissant apparaître une fragilité pompeuse, une double personnalité...

Giampaolo Spinato, Grande Milano spettacoli, 02.01.87

 

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Il fuoco divampa con furore

Gennaro Cannavacciuolo est une valeur sûre!

Aggeo Savoli, 1987

 

Gennaro Cannavacciuolo est Filippo dont il retrace un profil avec une intelligente discrétion, en obtenant des résultats extraordinaires.

Enzo Siciliano, Corriere della Sera, 10.03.87

 

Fiable et très appliqué, Gennaro Cannavacciuolo. Un jeune qui promet.

Rita Sala, Il Messaggero, 09.03.87

 

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Miseria e grandezza nel camerino num.1

Gennaro Cannavacciuolo est brillant, oscillant entre le mysticisme dictatorial du théologien et la cupidité érotique du rétameur ou l'aspect déluré du couturier homosexuel.

Mariola Boggio, Avanti!, 11.01.87

 

Il faut garder un mémoire Gennaro Cannavacciuolo, un jeune acteur issu de l'école napolitaine: du prêtre au plombier, du lauréat dédaigneux de la Columbia University au couturier de la star: une galerie de métamorphoses très bien dessinée.

Nico Garrone, 1986

 

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A qualcuno piace caldo

Le co-protagoniste excellent Gennaro Cannavacciuolo...

C.M., Il Messaggero, 08.04.88

  

Toutes les difficultés sont surmontées de manière excellente par Gennaro Cannavacciuolo, irréprochable, dans le rôle qui fût de Tony Curtis.

Carlo Muscatello, Il Piccolo, 07.04.88

 

L'excellent Gennaro Cannavacciuolo se démarque parmi les interprètes...

Tonino Scaroni, Il Tempo, 08.02.88

 

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Figaro o le disavventure di un barbiere napoletano

Le rôle est confié à un excellent Gennaro Cannavacciuolo qui a donné à Figaro un peu de Dulcamara et un peu de Pulcinella, sage et opportuniste, la verve scintillante d'un fils du peuple, mais pourvue d'une touche artistocratique innée, typique des napolitains.

Paolo Lucchesini, La Repubblica, 01.04.90

 

Le Figaro créé par Gennaro Cannavacciuolo a une gestualité imposante et agile en même temps, celles des personnages populaires et rusés, contraints d'utiliser la diplomatie de par leur vécu.  L'action au un rythme soutenu et fascinant caractérise le spectacle et surtout Cannavacciuolo.

Leonardo Sole, La Nuova, 25.03.90

 

Figaro, ça décoiffe! Bravo! Comique, populaire et raffiné […] Gennaro Cannavacciuolo est d’une drôlerie irrésistible, aussi léger et imprévisible que sa voix est généreuse. On rit beaucoup beaucoup, mais l’émotion est aussi présente, délicate et demi-teintée.

Jacques Leleu, Le Chambéry, 23.11.89

 

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