VOLARE OH OH - PLUS DE 550 REPRESENTATIONS DEPUIS 2010
Décrit par les critiques comme « un véritable bijou », Volare oh oh est une plongée attachante dans l'histoire de la grande chanson italienne et se concentre sur l’univers d’un de ses plus grands interprètes, Domenico Modugno.
Un spectacle agrémenté de différents sketches et interpellations du public, typiques du théâtre-chanson d’inspiration napolitaine, proposant des chansons caricaturistes et des chansons d'amour célèbres comme Vecchio frac, Ciao Bambina, Resta cu mme jusqu'à l'hymne Volare oh oh.
Un spectacle acclamé par la critique, qui offre une succession de moments comiques et de tableaux plus mélancoliques, d’aspects joyeux ou d’évocations poétiques, où Gennaro Cannavacciuolo déploie une palette musicale et théâtrale aux mille visages, digne héritier de la grande école et tradition napolitaines d’acteurs-chanteurs nourris aux planches dès leur plus jeune âge.
Un spectacle pour tout public, de langue maternelle italienne ou non! Une occasion pour (re)découvrir les classiques de la chanson italienne, connus dans le monde entier, car souvent repris par des stars internationales de la chanson ou même chantonnés par chacun(e) d’entre nous.
Auteur: Gennaro Cannavacciuolo
Mise en scène: Marco Mete
Production: Elsinor
Piano: Marco Bucci
Sax-contralto: Andrea Tardioli
Violoncelle: Francesco Marquez
Auteur: Manlio Santanelli
Mise en scène: Angelo Savelli
Plus de 500 représentations
Le tre verità di Cesira est un monologue comique où la protagoniste – une vendeuse de rue de limonades dans les quartiers espagnols de Naples – raconte à ce qu’elle croit être un cameraman du « téléjournal » trois différentes versions sur l’origine de ses moustaches. Trois histoires surréelles, où le comique vire au grotesque et fait apparaître une vérité douloureuse… Mais quelle vérité? La vérité d’une condition existentielle de la protagoniste ? La vérité sur la condition sociale de la sous-classe napolitaine ? Une vérité sur l’ambiguïté du langage et de la communication humaine? Ce qui rend ce spectacle si particulier c’est d’avoir confié le rôle d’une femme à un interprète masculin, l’excellent Gennaro Cannavacciuolo, et situant donc Cesira dans cette longue galerie des « monstres hermaphrodites », de « matrones viriles » dont la tradition napolitaine antique est si riche, de l’Opéra Bouffe jusqu’à De Simone, en passant par Ruccello et Moscato.
Mais comment ne pas souligner l'interprétation splendide de l’Animateur, le véritable chef d'orchestre du spectacle, Gennaro Cannavacciuolo ? Comment ne pas mettre en évidence le feeling magnétique qui s’instaure sur sa physionomie diaphane et allusive, de grande classe, à laquelle font suite des moments de grossiéreté? Luciano Gambucci, Il Resto del Carlino, Ancona Le grand Gennaro Cannavacciuolo, qui mieux que lui aurait pu interpréter Cesira? Le personnage chéri des scènes nationales a toujours été délicieux, un Charon lucide et magnifique dans l'histoire, conduisant au sein des méandres, des peurs, des rires, une partie de la même partie. Il Corriere di Firenze, Tommaso Cimenti, 05.06.04
La touche décisive vient de l'interprétation extraordinaire, à la fois pénétrante et fort plaisante de Gennaro Cannavacciuolo .... Il Mattino, Enrico Fiore, 24.01.04
Encore une fois, le public a loué le texte brillant et l'excellence de Gennaro Cannavacciuolo ... Roma, M.G. Poggiagliolmi, 23.01.04
Gennaro Cannavacciuolo parcourt habilement les nombreux registres du texte : du comique au grotesque, du frivole au tragique avec rigueur et précision artistique. Il Corriere de Mezzogiorno, Natascia Festa, 23.01.04
Gennaro donne voix et moustache à l’irrésistible Cesira avec un talent délicat et corsé ... recueillant des applaudissements chaleureux. L’Unità, Sara Mamone, 06.10.00
Auteur: J. Ferretti
Musique: G. Donizzetti
Mise en scène: Lucia Ragni
L’histoire se déroule au début du XIXème siècle, dans une ville italienne qui n’est pas précisée.
Le marquis Giulio exige que ses fils, Enrico et Pippetto, grandissent dans l’ignorance totale de toutes questions sexuelles. Enrico, toutefois, a épousé Gilda en secret et les deux époux ont même un fils. Exaspéré par la vie qu’il est obligé à mener, Enrico demande l’aide de son vieux précepteur, Gregorio, et lui demande de rencontrer sa femme. Mais le marquis arrive peut après et Gilda reste enfermée dans la chambre de Gregorio. La jeune femme est préoccupée car elle doit allaiter son enfant : Gregorio est ainsi obligé d’aller chercher son enfant et de le lui amener en le cachant sous son manteau. Leonarda, une vieille femme de chambre, informe le marquis de ses doutes : don Giulio découvre Gilda, mais il est convaincu que son amant est le vieux précepteur. Il en découle une scène tumultueuse à laquelle participent tous les personnages et, finalement, toute la vérité ressort. Le marquis décide tout d’abord de chasser et déshériter Enrico pour tout laisser à Pippetto : mais l’intervention ferme de Gilda le pousse à faire marche arrière et la famille entière recouvre enfin la sérénité.
Gennaro Cannavacciuolo et O’ Brien sont irrésistibles dans les rôles respectifs de Gregorio et Leonarda, deux grands dominateurs de la scène.
Emilia Costantini, Corriere della Sera, 01.04.89
L'atmosphère scénique et psycologique de la pièce sont très bien restituées grâce au support d'artistes de grand talent comme Gennaro Cannavacciuolo, créatif, polyvalent dans toutes ses interprétations.
Nicola Cospito, Il Messaggero, 89
Mise en scène: Saverio Marconi
Musique: S. Sondheim
Afin d’acheter sa libération, un esclave, Pseudolus, propose à Hero, fils de son maître, un accord : en échange de sa liberté, Pseudolus trouvera le moyen de lui amener Philia, la femme dont Hero est amoureux. Philia, toutefois, appartient à Lycus et est déjà destinée à Miles Gloriosus. A la fin, après mille dédales, toute l’intrigue se résout…
Gennaro Cannavacciuolo est extraordinaire dans le rôle de Hysterium, un vrai napolitain, un élément d'équilibre, une colonne de soutien pour tout le spectacle.
Gian Luca Favetto, Vivitorino, 06.04.95
Gennaro Cannavacciuolo, acteur provenant de l'école de Eduardo, et sans vouloir offenser les autres interprètes, s'est révélé l'élément essentiel de "I Dolci Vizi al Foro”.
Dino Castrovilli, Giornale della Toscana, 95
C'est une interprétation extraordinaire celle de Gennaro Cannavacciuolo que le publique déjà connaît en tant qu'excellent interprète de “Cabaret” et après sept spectacle mis en scène par Eduardo De Filippo. Cannavacciuolo confère à son personnage Hysterium de multiples facettes, une interprétation brillante, précise, qui prouve l'existence d'un tempérament articulé et d'une base technique très solide.
Maria Della Felba, Il Giornale di Napoli, 23.03.95
Mise en scène: Geppy Gleijeses
Auteur, acteur, metteur en scène, fondateur de la Nouvelle Dramaturgie Napolitaine, Enzo Moscato explore toujours avec audace et sensibilité une pluralité de registres linguistiques archaïques et contemporains. En partant de la réalité sociale napolitaine complexe et contradictoire, et en cherchant dans la contamination la forme d’une modernité d’expression, Moscato aspire à un théâtre-poésie enrichit grâce à l’héritage de Pasolini. Les personnages de Moscato sont les acteurs d’un drame extrême, fort, authentique et délirant, chargé de conflits et de contrastes. Ragazze sole con qualche esperienza revient sur scène après que Enzo Moscato l’avait interprété en 1985 au théâtre Ausonia de Naples, avec Annibale Ruccello, Silvio Orlando et Tonino Taiuti. Deux travestis, Grand Hotel et Bolero Film : deux délinquants délurés, Scialò et Cicala, se rencontrent soi-disant pour un règlement de compte ou, peut-être, pour une folle rencontre amoureuse, après avoir publié une annonce sur la revue « Cœurs solitaires ». L’histoire, qui alterne habilement, farce et tragédie, est un prétexte pour affronter des thématiques comme l’amour, la solitude, le choix quotidien inévitable de la violence » qui s’exprime dans une Babel linguistique vertigineuse, mélangeant tradition et modernité, typiques des œuvres de Moscato.
Auteur: Manuel Puig
Mise en scène: Angelo Savelli
Valentín Arregui est un jeune homme de 26 ans, leader d’une mouvement politique dissident. Luis Molina, qui a presque quarante ans, est homosexuel. Le destin des deux hommes se croise dans une prison de Buenos Aires, où ils vivent leur détention en essayant de se distraire en se racontant des histoires issues de vieux films mielleux. Apparemment incompatibles, les deux protagonistes finiront par atténuer leurs divergences personnelles et se rapprocheront toujours plus. Le spectateur comprendra rapidement que leur cohabitation n’est pas le fruit du hasard et que, tous deux, bien que de manière différente, sont prisonniers de la toile d’araignée du pouvoir.
Plus de 300 représentations
Auteur: J. S. Sinisterra
Mise en scène: Angelo Savelli
Cast: Gennaro Cannavacciuolo et Edy Angelillo
Carmela et Paolino est l’adaptation italienne du teste écrit par le dramaturge espagnol José Sanchis Sinisterra "AY, CARMELA", qui, dès 1986, a eu un succès sans précédent en Espagne et Amérique du Sud, en restant à l’affiche des plus importants théâtres durant des années, si bien qu’en 1990 le fameux réalisateur Carlos Saura en fera un film interprété par la talentueuse Carmen Maura.
« Ay Carmela” raconte l’histoire de deux acteurs méconnus du théâtre de variété, qui tombent prisonnier des phalangiste durant la guerre civile et sont ainsi obligés, malgré eux, d’improviser pour les troupes un spectacle comique loufoque au revers tragique. Dans le texte originel, l’histoire se déroule en Espagne en 1938, à Belchite, un village-symbole des effets dévastateurs et de la cruauté de la guerre civile espagnole, dont les ruines sont considérées, encore aujourd’hui, monument national.
Le metteur en scène, Angelo Savelli, en accord avec l’auteur, a adapté le texte en déplaçant l’action en Italie, en 1944, en pleine seconde guerre mondiale, dans un petit village occupé par les troupes nazis. La partie centrale du texte est occupée par le souvenir du spectacle de variété improvisé par Carmela et Paolino pour les troupes militaires. L’auteur, Sinisterra, a effectué une agrégation et mélange subtils des genres, tels que références théâtrales intertextuelles, chansons, ballets et numéros typiques du théâtre léger de variété espagnole. Dans la version italienne, le spectacle a été reconstruit en parallèle avec le texte original et en respectant des traditions de variété italiennes classiques liées à Viviani, Nino Taranto, Totò, Anna Magnani, Macario, Armando Gil, Cioffi, le trio Lescano, Rascel et bien d’autres. Carmela et Paolino est donc, avant tout, un spectacle populaire et musical, une performance captivante pour deux acteurs solides et brillants, accompagnés par 5 musiciens, qui suivent un crescendo dramatique bien rythmé et qui peuvent s’exprimer sur plusieurs registres expressifs : de la récitation traditionnelle au chant et à la chorégraphie, en jouant sur une riche gamme chromatique qui va de la farce au tragique. Mais Carmelo et Paolino offre également un regard critique impitoyable sur un monde superficiel et un courageux avertissement à l’égard des frivolités du passé et à venir, qui ne doivent servir paravent commode à notre désengagement et de sédatif envers nos lâchetés quotidiennes.
Deux phénomènes d’excellence. Applaudissements interminables par le public qui remplissait la salle. A ne pas manquer.
Corriere Mercantile, C. Rubbi, 20.11.96
La grande qualité des artistes de la compagnie qui font partager leur joie au public […] le public ovationne les artistes.
Le Dauphiné, C. Megevet, 13.04.92
C’est une course à l’excellence, avec un Cannavacciuolo qui, imprégné de ses origines napolitaines, ajoute au cliché de P. De Filippo et N. Taranto sa propre touche comique, élégante et surréaliste.
Il Giorno, U. Ronfani, 03.03.92
Amarcord, un vrai spectacle de variétés : excellents Edy Angelillo et Gennaro Cannavacciuolo
Il Messaggero, Renzo Tian, 28.12.91
Lui, Gennaro Cannavacciuolo, issu d'une grande école napolitaine, parfaitement digne de ses illustres modèles (napolitains ou non) auxquels il se réfère.
L’Unità, A. Savioli, 15.12.91