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Concha Bonita - 2004-2008

Auteur René de Cecatty, mise en scène Alfredo Arias, musique Nicola Piovani, avec Gennaro Cannavacciuolo, Alejandra Radano, Mauro Gioia, Sandra Rumolino, Gabriella Zanchi, Sibilla Malara. Cette comédie musicale raconte l'histoire de Pablo, footballer argentin professionnel, qui arrive à Paris et se transforme en femme et prend le nom de Concha: une femme tellement belle qu'on l'appelle Bonita. Concha Bonita vit plusieurs histoires d'amour et notamment avec un vieil et riche italien grâce auquel elle assure son avenir. Sa vie est merveilleuse, excitante et insouciante, jusqu'au jour où son ex fiancée argentine, Myriam, débarque à Paris pour lui faire connaître leur fille Dolly qui cherche à tout prix son père et dont Concha ignorait totalement l’existence....

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Concha Bonita - coupures de presse

[...] magnifique, ironique, unique, Gennaro Cannavacciuolo.

Corriere della Sera, M. Porro, 08.02.2007

 

[...] parmi les artistes se distingue un prodigieux G. Cannavacciuolo dans le rôle de Carlo, le coiffeur gay de Concha.

Il Mattino, E. Fiore, 13.12.2005

 

[...] G. Cannavacciuolo, méticuleux et mélancolique, hystérique et pathétique dans le rôle du coiffeur, dans Concha, son impayable créature, a trouvé une dimension pour ses rêves, et donné corps à ses fantasmes secrets ...

Messaggero Veneto, M. Brandolin, 24.11.2005

 

Poignant et pathétique, Gennaro Cannavacciuolo dans le rôle de Carlo.

La Sicilia, C. Celi, 18.02.2005

 

Pour le plaisir de l'odorat, inhalez le parfum de l'extravagance émis par les manières et le mélo de G. Cannavacciuolo, le factotum de Concha.

La Repubblica, R. di Gianmarco, 18.02.2005

 

[...] Carlo, un coiffeur extravagant, divinement interprété avec un véritable talent : Gennaro Cannavacciuolo.

Rinascita, A. Rizzo, 08.02.2005

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Novecento Napoletano - coupures de presse

Immense Gennaro Cannavacciuolo...

Il Mattino, Enrico Fiore, 22.07.2008

 

C’est un spectacle-mythe qui revient et très bien réussi. Au centre de la scène se trouve une généreuse poignée d'acteurs-chanteurs et de danseurs dirigés par le grand Gennaro Cannavacciuolo, avec un équilibre d’élégance et de performances amusantes "en travesti" et des interprétations convaincantes conformes à la tradition.

La Repubblica, Giulio Baffi, 28.07.2008

 

Pour la version actuelle, à signaler Cannavacciuolo, toujours brillant, versatile, élégant et divertissant.

Corriere del Mezzogiorno, Stefano de Stefano, 31.07.2008

 

Deux protagonistes vraiment impeccables, Rosaria de Cicco et Gennaro Cannavacciuolo ...

Il Roma, Gaia Bozza, 22.07.2008

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Cabaret Musical - coupures de presse

Gennaro Cannavacciuolo, son visage laqué et la bouche rouge, tient à merveille le rôle de M.C., un personnage épique, doux et terrible qui incarne le pécheur conscient, le gay super partes. Il Messaggero, R. Sala, 29.11.94 Le personnage de M.C .. (fabuleux Joel Gray dans le film) est joué par un excellent Gennaro Cannavacciuolo.

Panorama, G. Almansi, 14.11.93

 

Excellent Gennaro Cannavacciuolo qui incarne avec habileté le rôle d’un clown minable, méphistophélique, entretenant un rapport répugnant encore que mielleux avec le public. Authentique satire, au regard pervers sur l’imminente tragédie du nazisme, et auquel Cannavacciuolo confère une sensualité ambiguë, en se déplaçant avec des mouvements gracieux et en chantant avec une délicieuse malice. Il Piccolo, S. Cimarosti, 31. 07.93 Gennaro Cannavacciuolo est un grand amphitryon.

Emilia Costantini, Corriere della Sera, 18.11.94

 

Gennaro Cannavacciuolo dans le rôle de l’Animateur, au masque ambigu et grotesque, et l’extraordinaire présence allusive et vulgaire sur scène, idéogramme de la perversion vomie des bas-fonds nazis.

José Minervini, Corriere del Giorno, 12.05.94

 

Impayable Gennaro Cannavacciolo dans le rôle dangereux de l’Animateur : un fantaisiste dynamique, lubrique, drôlement effronté, une ombre lunaire ambiguë de la chute de l'Allemagne.

La Nazione, P. Lucchesini, 11.07.93

 

De tous les personnages masculins émerge le Maître des Cérémonies, allusif et luciférien, «voix narrative», confié au superbe Gennaro Cannavacciuolo, une espèce de leit-motiv allusif intervenant dans les profondeurs du drame.

Stefano Sacher, Trieste Oggi, 01.07.93

Incroyable M.C., clown livide et funèbre interprété par le grand Gennaro Cannavacciuolo avec un surplus d'expression à tonalité napolitaine. Avvenire, D. Rigotti, 29.06.93 Mais comment ne pas souligner l'interprétation splendide de l’Animateur, le véritable chef d'orchestre du spectacle, Gennaro Cannavacciuolo ? Comment ne pas mettre en évidence le feeling magnétique qui s’instaure sur sa physionomie diaphane et allusive, de grande classe, à laquelle font suite des moments de grossiéreté?

Luciano Gambucci, Il Resto del Carlino, Ancona

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La Veuve Joyeuse - coupures de presse

Gennaro Cannavacciuolo mérite d’être cité à part pour sa remarquable interprétation du Njegus: un rôle côtoyant le loufoque, rendu dans un style mesuré et d’autant plus exaltant. Un seul mot s’impose dans toute sa noblesse originaire: professionnalisme.

Sandro Compagnone, mensuel L’Opera, juin 2010, n° 248

 

Une mention spéciale est réservée au Njegus de Gennaro Cannavacciuolo, qui confirme son talent d’interprète et d’acteur de genre. Au fond, son rôle est le plus difficile de l’ensemble de la partition : au sein d’un drame où la musique est prépondérante et où les autres, s’ils récitent mal, peuvent se rattraper avec le chant. De plus, les salles de musique lyrique et leurs scènes ne sont certainement pas les plus appropriés pour la prose. Il faut encore garder l’équilibre entre sarcasme et ironie. Il faut être comique sans être loufoque, faire rire à la pointe de la fourchette, mais sans affectation, raconter comme il faut, en évitant toutefois la caricature. Un problème difficile en somme, qui dans ce cas a été dignement résolu.

Giancarlo Landini, mensile L’Opera, janvier 2010, n° 243

 

Un Njegus retentissant interprété par le fabuleux acteur Gennaro Cannavacciuolo. Sandro Compagnone, La Repubblica (édition de Naples), 15 mai 2010 … puis l’intervention au troisième acte de deux passages hermétiques adaptés aux talents de comique de Gennaro Cannavacciuolo et Bruno Praticò, respectivement Njegus et Barone Zeta.

Giovanni Carli Ballola, Il Mattino, 16 mai 2010

 

L’acteur Gennaro Cannavaciuolo – qui rappelle sans conteste Groucho Marx – interprète admirablement Njegus. William Fratti, Liricamente.it, 10.12.2009 Excellent le Njegus de Gennaro Cannavacciuolo.

Michelangelo Zurletti, La Repubblica, 05.12.2009

 

Sans surprise, l’acteur Gennaro Cannavacciuolo (Njegus) est absolument le meilleur, vraiment brillant, parfaitement adapté au personnage, polyédrique. Bravo en somme.

Il Giornale, 01.12.2009

 

Gennaro Cannavacciuolo est un Njegus plein d’esprit, d’un comique léger et mesuré, qui aurait pu être encore plus mis en valeur. Francesco Rapaccioni et Ilaria Bellini, Teatro.org, 28.11.2009 Gennaro Cannavacciuolo, brillant Njegus.

Roberto Iovine, La Repubblica – Gênes, 04.12.2009

 

Cette production de Salerne dévoile un autre atout de Gennaro Cannavacciuolo qui interprète un Njegus incontestablement supérieur, avec des changements de registre parfaitement adaptés.

Alfredo Tarallo, Il Mattino, 03.06.2004

 

Un Gennaro Cannavacciuolo pétillant dans le rôle du chancelier Njegus.

Olga Chieffi, Positano news, 30.05.2004

 

Simplement fantastique l’interprétation de Gennaro Cannavacciuolo. Véritable entraîneur, affabulateur extrêmement habile, maître des temps théâtraux, il a engagé le public dans le tourbillon irrésistible de mille gags pétillants avec l'autorité qui naît uniquement d’une spontanéité étudiée. Un nouvel Ettore Petrolini, certainement, doté d’une expression extraordinairement changeante et d’un charisme hors du commun.

Guido Guidi Guerrera, La Nazione, 23.02.2003

 

C’est un Gennaro Cannavacciuolo délié et extrêmement raffiné, un comique d’une force interprétative formidable: Njegus.

Goffredo Gori, La Nazione, 20.02.2003

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La Comtesse Maritza - coupures de presse

Le top c'est l'apparition de Gennaro Cannavacciuolo (le baron Zsupan), le showman de la soirée, avec ses duos en costume de bain et chapelets des saucisses.

Francesco Moretti, Viale del Tramonto, 14.07.2006

 

Gennaro Cannavacciuolo, un outsider de la scène italienne, magnifique protagoniste dans Cabaret, Le Notti di Cabiria, Dolci Vizi al Foro et le très récent succès de Concha Bonita, s’affirme ici aussi dans le rôle du baron Koloman Zsupan, suscitant un grand enthousiasme entre chemisettes aux dessins de porcelets, dandinements et divers duos comiques.

Erica Culiat, Il Messagero Veneto, 09.07.2006

 

Zsupan, un Gennaro Cannavacciuolo véritablement impeccable.

Rino Alessi, Il Piccolo, 08.07.2006

 

Gennaro interprète brillamment le rôle du baron Zsupan.

Maria Fuchs, Trieste Oggi, 05.07.2000

 

Gennaro Cannavacciuolo est impayable dans le rôle du baron Zsuspan.

Rino Alessi, Il Piccolo, 02.07.2000

 

Gennaro Cannavacciuolo est excellent dans le rôle du baron Koloman Zsupan.

Maria Fuschs, Trieste Oggi, 01.07.2000

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Rose Marie - coupures de presse

Le plus applaudi est encore une fois Gennaro Cannavacciuolo qui divertit avec ses déguisements et allège le sens du livret de « Rose Marie ». Moine, femme, ours, cow-boy (Herman), tailleur, chaque entrée en scène est une surprise qui déchaîne l’accueil chaleureux de ceux qui le reconnaissent à ses performances antérieures.

Daniela Bonitatibus, Il Gazzettino, 01.07.1999

 

Large adhésion au couple Cannavacciuolo-Patitucci qui a imprimé au spectacle une bonne dose d’hilarité et de bonne humeur.

Pierpaolo Zurlo, MessaggeroVeneto, 01.07.1999

 

Hilarant et dynamique l’Herman de Gennaro Cannavacciuolo.

Fabio Vidali, Voce Libera, 01.07.1999

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La Princesse Czardas

L’excellent Gennaro Cannavacciuolo, dans le rôle du Conte Boni Cancianu, dédie le spectacle à Lelio Luttazzi, décédé le jour de la première représentation. C’est l’ouverture du Festival de l’Operetta, une Princesse de la Csárdás pétillante, ardente, colorée.

Dino Villatico, La Repubblica, 10.07.2010

 

Gennaro Cannavacciuolo n’a pas de rival pour esquisser le personnage du Conte Boni Cancianu par ses mimiques, sa façon de porter le regard et sa fourbe gestualité.

Sirlene Ancillotti, Udine Teatro, 12.07.2002

 

Et puis il y a le triomphe de Gennaro Cannavacciuolo. On le savait très bon, mais ici l’artiste napolitain se surpasse. Il joue comme seuls le savent faire ceux qui ont pratiqué aux côtés de De Filippo. Il dessine le Conte Boni Cancianu de façon caricaturale, avec une posture dégingandée évoquant des modèles mythiques (Totò jeune et pommadé).

Sergio Cimarosti, Il Piccolo, 13.07.1997

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