Gennaro Cannavacciuolo è chiamato ad interpretare il ruolo del brillante in varie operette. In modo continuativo per il Teatro Lirico Giuseppe Verdi di Trieste, ma anche per il Politeama di Prato, il Verdi di Salerno sotto l'egida del Teatro San Carlo di Napoli, per il Teatro Verdi di Pisa ed il Teatro Carlo Felice di Genova.
Le sue interpretazioni riscuotono grandi consensi tant'è che nel 2002 gli viene assegnato il premio "Trieste Operette"
Gennaro Cannavacciuolo, excellent, raffiné...
Paolo Petroni, Corriere della Sra, 28.02.90
Les acteurs, un brillant Gennaro Cannavacciuolo et une Lucia Ragni auto-ironique, ont surtout le mérite de se lancer dans toutes sortes de jeux d'esprit en conservant constamment la juste mesure.
Rita Sala, Il Messaggero, 24.02.90
Les interprétes Gennaro Cannavacciuolo et Lucia Ragni déchaînent les fous rires. Ils n'auraient pu être meilleurs et aimables.
Masolino d’Amico, La Stampa, 23.02.90
… nous avons ici un excellent Gennaro Cannavacciuolo.
Rodolfo di Giammarco, La Repubblica, 23.02.90
Lucia Ragni et Gennaro Cannavacciuolo: deux acteurs excellents.
Vittorio Morelli, Corriere della Sera, 21.02.90
Chansons napolitaines, comédie, très grand professionalisme. Gennaro Cannavacciuolo est en grande forme, il passe des gags napolitains aux mises style Josephine Baker.
C.L., La Nazione, Carrara
Gennaro Cannavacciuolo est irrésistible. Succès assuré!
La Nazione
Gennaro Cannavacciuolo fait partie des tous grands de la meilleure tradition napolitaine et lorsqu'il chante il est irrésistible.
Roberto Incerti, La Repubblica
Le public ne se lasse pas d'applaudir. Gennaro Cannavacciuolo, grand transformateur, porte dans son regard la lumière magique dans Charlot.
Carmelo Alberti, La Nuova
Succès pour Cafè Champagne. Cafè et Champagne offerts avec une bravoure irresistible part Gennaro Cannavacciuolo, continuellement rappelé sur scène.
Paolo Accattatis, La Repubblica, Venezia
Dans ce spectacle, Gennaro Cannavacciuolo raconte et chante la vie artistique et privée de Milly.
Le récital trace en deux temps une biographie avec les chansons les plus représentatives de l’actrice - chanteuse piémontaise, chaque chanson étant choisie pour souligner un moment significatif de sa vie et de sa carrière.
Dans un cadre scénographique élégant avec des éclairages décroissants, le fond principalement noir consiste en très grandes photographies retraçant les divers moments de la vie de Milly, que Gennaro manœuvre aux moments-clés de son récit. On commence avec varietà degli Anni 20 sur les notes de “Era nata a Novi”, puis “Le rose rosse”, “Donne e giornali” et “Mutandine di chiffon”. On passe ensuite au flirt entre Milly et le Principe Umberto, ainsi qu’à l’amour désespéré de Cesare Pavese, jamais partagé par l’artiste, et dont elle reçut des lettres enflammées. Viennent ensuite les notes de “Parlami d’amore Mariù” qui signalent la rencontre avec Vittorio De Sica, dont sortira une éternelle amitié.
Le premier temps s’achève sur un revival de la période française évoquée par “Milord” et deux chansons de Jacques Brel dont “La Valse”.
Avec « Si fa ma non si dice », son cheval de bataille, le deuxième temps s’ouvre sur la rencontre avec Strehler, racontée par quelque unes des chansons les plus significatives de Brecht, dont “Ballata della schiavitù sessuale”, “Surabaya Johnny” et la “Ballata di Mackie Messer”.
Puis, un morceau récité de « L’Istruttoria » de Peter Weiss (procès d’Auschwitz à Francfort), texte interprété par Milly pour la première fois en Italie, rencontrant un grand succès.
Le spectacle continue sur le thème de l’heureuse rencontre avec Filippo Crivelli qui créera pour elle le célèbre « recital » dans lequel Milly, outre qu’elle chante un brillant répertoire de variété, introduit celui de Brecht-Weill et les textes les plus significatifs des chanteurs et musiciens des années 60-70, tels que Endrigo, Lauzi, De Andrè, Aznavour et Piazzolla, ici reproduits avec une intensité croissante.
Auteur: Gennaro Cannavacciuolo
Piano: Dario Pierini
Sax-clarinette: Andrea Tardioli
Violoncelle: Francesco Marquez
Production: Elsinor
Lumières: Michele Lavanga
Ingégneur du son: Alfonso D'Emilio
Milly a beaucoup chanté “en tant qu’homme”, et en reprenant ses chansons il s’agit, pour Cannavacciuolo, d’une sorte de déplacement in situ, avec orgueil, respect et profonde humilité.
L’abstraction est pour moi le caractère essentiel de cet artiste, qui s’exprime par le chant et le récital. Gennaro Cannavacciuolo demeure en un endroit mystérieux, aux confins de l’abstraction et de l’émotion. Il a le don de chanter consciencieusement, et d’accorder une extrême attention à son expression et la manière de s’exprimer. La rencontre entre Gennaro Cannavacciuolo et Milly donne des résultats extraordinaires… Cannavacciuolo donne à sa présence l’aspect d’un rêve, en feignant une distraction qui en fait est un ornement, une grimace, ressemblant à ce dont étaient capables Totò, Eduardo et en dernier Massimo Troisi. La Repubblica, Alvise Sapori
Le récital raffiné avec Gennaro en pleine forme qui distille un répertoire bal tabarin du début vingtième siècle, avec des chansons à double sens et une séquence plus consistante d'interprètes d’Europe centrale évoquant Brecht-Weill, le théâtre engagé, le cabaret et la télévision des années 1960. Un chant magnifique ainsi qu’une diction délicate, qui délie les sens avec des effets de résonance inégalés entre hier et aujourd'hui, presque une soirée de gala futuriste, excentrique et orientée cult.
Il Manifesto, G.R .
... la scène pleine de l’habileté de Cannavacciuolo qui confirme avec ce récital ses dons de défenseur attentif et raffiné du spectacle de variété
Century of Italy, R. Fantozzi
Soirées de succès pour Cannavacciuolo
Grande réussite au Teatro Civico pour Cannavacciuolo ... Le spectacle a été interprété avec une grande compétence par Cannavacciuolo qui a suscité des applaudissements répétés.
Piccolo, P. Silla
L'éclectisme, la souplesse, la sensibilité et les compétences incontestables de Gennaro Cannavacciuolo sont la garantie d'un spectacle d'une rare élégance, et d'une recherche appropriée et fidèle portant sur la vie de la grande artiste.
Milan Post, N. Neme
C'est un défi gagné : sur le plateau Cannavacciuolo, véritable animal de scène, évoque Milly, et dans des moments chargés d’émotion, semble presque la tenir par la main et l’offrir au public.
Il Tempo, A. Angels
Encore une fois, Gennaro Cannavacciuolo se confirme comme un défenseur splendide et raffiné, du retour élégant et éclairé du spectacle de variété.
L’Avanti , M.S.
Le récital de Cannavacciuolo est une biographie comprenant des chansons et des récits emblématiques, interprétés avec beaucoup de charme et de talent par Cannavacciuolo, qui a toujours été le paladin d’un retour éclairé du spectacle de variété.
Corriere Umbro, C. Neri
C'est un spectacle extraordinaire de Gennaro Cannavacciuolo ... Aussi impressionnant que Gennaro, un acteur et chanteur hors norme, qui déplace les panneaux de scène qui se réfèrent à la vie de la grande artiste, dont Cannavacciuolo raconte l'histoire avec une maîtrise absolue de la musique mais aussi du théâtre.
Il Mattino, F.A.
... l'émotion de sa voix fait frissonner ... et lui, comme toujours, est d’une envergure exceptionnelle ...
Giornale d’Italia, A. De Martino
Milly a beaucoup chanté “en tant qu’homme”, et en reprenant ses chansons il s’agit, pour Cannavacciuolo, d’une sorte de déplacement in situ, avec orgueil, respect et profonde humilité.
L’abstraction est pour moi le caractère essentiel de cet artiste, qui s’exprime par le chant et le récital. Gennaro Cannavacciuolo demeure en un endroit mystérieux, aux confins de l’abstraction et de l’émotion. Il a le don de chanter consciencieusement, et d’accorder une extrême attention à son expression et la manière de s’exprimer. La rencontre entre Gennaro Cannavacciuolo et Milly donne des résultats extraordinaires… Cannavacciuolo donne à sa présence l’aspect d’un rêve, en feignant une distraction qui en fait est un ornement, une grimace, ressemblant à ce dont étaient capables Totò, Eduardo et en dernier Massimo Troisi. La Repubblica, Alvise Sapori.
Auteur: Antonio Grosso
Mise en scène: Paolo Triestino
Production: RazMaTaz
Mon fils a toujours été curieux. Un jour il m’a dit: papa, est-ce que le paradis existe vraiment? Aucun père ne peut fournir de réponse à cette question en pensant d’être précédé dans ce passage outre-monde par son propre fils. Il s’agit d’une douleur incommensurable, où les lois de la Nature sont inverties et, comme toute chose contre-nature, on y voit quelque chose d’abominable. Un père et un fils, un fils et son papa : un lien profond, viscéral qui amène le père et protagoniste de cette histoire à vivre des émotions fortes. Voir son fils naître, croître, devenir adulte et…
Dans L’Invisibile che c’è, tout reste en suspens, tout tourne en orbite autour cette «absence visible », comme le petit train électrique qui fonctionne à la perfection grâce à de multiples mécanismes qui s’emboitent : et lorsque un des mécanisme se bloque, tout se complique et parcourir rien que 3 mètres peut devenir extrêmement compliqué.
La vie est souvent imprévisible : et qu’advient-il si la mort le devenait également ?
Le spectacle dédié à Yves Montand se présente sous forme de récital et retrace ses premières apparitions en Toscane jusqu’à ses triomphes à Paris: un parcours de 70 ans (1921-1991).
Les chansons les plus significatives de l’artiste ponctuent les moments saillants de sa vie et de sa carrière, parsemée de succès extraordinaires et d’engagements politiques importants. Des chansons gravées dans l’histoire: Les feuilles mortes, A Paris, Sur le ciel de Paris, C’est si bon, A bicyclette, C’est à l'aube, Je suis venu à pied, Bella Ciao, Mon manège à moi, Paris canaille…
Le récit est chronologique et, à travers les chansons, relate les moments les plus significatifs qui ont caractérisé la vie exceptionnelle de Montand, né Ivo Livi:
- ses débuts: fils d'immigrants pauvres, manœuvre infatigable dès l'âge de 12 ans, il découvre son talent et le cultive la nuit tout en travaillant le jour. Il commence par se produire dans des salles de spectacles de la banlieue de Marseille pour culminer ensuite à l'Olympia de Paris et au Metropolitan à New York;
- ses amour: Edith Piaf, Simone Signoret, qu'il épousera en 1951 et dont le mariage durera 35 ans, Marilyn Monroe et Carole Amiel qui deviendra sa femme et lui donnera la joie de la paternité;
- le cinéma: la période d'Hollywood, la rencontre avec Costa-Gavras;
- les rencontres avec des grands hommes de culture et des politiciens; Prévert, Picasso, Apollinaire, Khrouchtchev, Kennedy, Tito et Mitterrand.
Classique et raffinée, la structure du récital est celle du théâtre-chanson où de courts monologues, des anecdotes, des curiosités et des épisodes importants qui racontent la vie de Montand introduisent les chansons dans une atmosphère suggestive rehaussée par des effets de lumières captivants.
Un quatuor accompagne Gennaro Cannavacciuolo: en plus du piano, une batterie, une contrebasse et un saxophone-clarinette qui se lance parfois dans des solos au rythme de swing.
Trois numéros dansés avec des claquettes sont particulièrement fascinants. Fred Astaire était un mythe pour Montand qui a émulé le danseur américain en créant même le célèbre numéro connu sous le nom du Le garçon dansant, ici réinterprété par Gennaro parmi d’autres.
La scénographie s’inspire d’une invention de Montand dans les années ‘50: l'orchestre prend place à l'arrière de la scène, dans une position centrale, mais dissimulé par un voile et un subtil jeu de lumières met en évidence, selon le cas, les musiciens ou d’autres éléments scéniques.
Billetterie Salle de l'Alhambra - Genève
Un grand succès pour "Un italien à Paris". Beaucoup d'applaudissements et d'ovations pour un Gennaro Cannavacciulo aux multiples facettes, un acteur célèbre qui a interprété Montand, en racontant à travers les chansons, sa vie personnelle et professionnelle.
Giornale Valdinievole Oggi, 11 novembre 2015
Enthousiasmant, éclatant et théâtral Cannavacciuolo. Cannavacciuolo qui a magistralement raconté, entre chansons, monologues et histoires curieuses les débuts de carrière d’un pauvre immigré qui atterri à l’Olympia de Paris, au Metropolitan de New York et à Hollywood.
Go News, 19 novembre 2015
Il fallait vraiment le grand talent de Gennaro Cannavacciuolo pour remémorer Yves Montand. Versatile, l’acteur napolitain rend hommage au showman français.
Quotidiano La Nazione, Federico Berti, 8 novembre 2015
L'approche choisie par Gennaro Cannavacciuolo est idéale : se dédoubler et devenir narrateur à l’occasion, détaché des faits qu'il retrace, et protagoniste quand il faut se glisser âme et corps dans le personnage. Cannavacciuolo gère avec aisance ces changements de perspective et sait s’adapter magistralement à la scène ; il est capable d’en recréer la passion, l’ironie, la légèreté effrontée, les allusions friponnes par lesquelles l'artiste savait enchanter son public, et ne néglige pas même les souffrances idéologiques de l'artiste ... Un spectacle intense donc et plaisant grâce au talent de Cannavacciuolo et de ses musiciens.
Ugo Perugini, Il Mirino, novembre 2015
Forte préparation tragicomique, chanteur à la formation solide et créativité dans les mouvements : tous les dons que le comédien napolitain Gennaro Cannavacciuolo, brillant producteur et interprète de "Un italien à Paris", maîtrise et emploie à sa guise pour s’attacher le public.
Ferma Spettacolo, Tessa Granato, 17 novembre 2015
Gennaro Cannavacciuolo, acteur orchestre, parcourt la glorieuse carrière de Montand, une heure et demi de théâtre de narration, récital et théâtre de chansons, proposé par un grand One-Man-Show. Le théâtre de Cannavacciuolo se remplit et enrichit avec son histrionisme, son énergie sur scène. Sa capacité de transformation, qui l'amène à changer de vêtements, entre chapeaux haut-de forme, mouchoirs blancs de poche, foulards, imperméables ; de chansonnier, danseur et narrateur au rythme fantasque, avec peu d’éléments et de splendides effets de lumière. Un théâtre simple qui au fait recrée un théâtre luxueux.
Teatro, Giampiero Raganelli, 11 novembre 2015
Gennaro Cannavacciuolo est très aimé par le public, les fans l'acclament pendant la représentation. Lui, qui était disponible pour les accueillir dans sa loge à la fin du spectacle, a écrit avec délicatesse et précision excellentes toute la vie d'Yves Montand: un spectacle sublime, délicat, gai, avec une mise en scène riche en détails. Gennaro Cannavacciuolo présente une fois de plus à son auditoire une très grande confirmation de son don d’interprète en coordonnant et maîtrisant avec sa personnalité artistique multiforme la précieuse et complexe mosaïque existentielle d'Yves Montand et en se mouvant avec agilité sur les notes de pièces inoubliables.
Saltinaria, Claudio Finelli, 11 mars 2017
Entre les différents changements d’accoutrements, l'artiste Cannavacciuolo chante plusieurs chansons célèbres .... Cannavacciuolo parcourt les différentes étapes de la carrière et de la vie de Montand de manière brillante et attrayante. C’est un spectacle passionnant qui plonge dans les péripéties publiques et privées du grand chansonnier en faisant revivre certaines des étapes les plus importantes de l’histoire du vingtième siècle.
Guffetto l’Altro Magazine, Paola Brigaglia, 11 mars 2017
Gennaro Cannavacciuolo nous conte un récit sobre et élégant : Yves Montand - un Italien à Paris. Une occasion d'admirer le grand artiste de l’école napolitaine qui avec une extrême précision et un talent unique évoque une vie de longue de 70 ans.
La Nouvelle Vague, Annalisa Civitelli, 12 mars 2017
Le Teatro della Cometa affiche un spectacle magnifique, original, "Yves Montand - un italien à Paris", un mélange de prose et de récital, avec la puissance d'une performance digne de l’Olympia. Toute la mise en scène est de Gennaro Cannavacciuolo, un artiste complet, acteur et chanteur, un « Montand » d'aujourd'hui.
Flip Magazine, Pauro Pecchenino, mars 2017
Retour à la magie au Teatro della Cometa. Prestidigitateurs, illusionnistes ? Non, rien de cela. Revient simplement sur scène l'art raffiné et intemporel de Gennaro Cannavacciuolo : ce docu-récital sur Yves Montand est un joyau de plus du grand artiste napolitain. [...] l'art de Cannavacciuolo, unique, dont il conviendrait de cloner l'essence de son parfum pour le rendre immortel comme le Chanel n ° 5.
Il Corriere dello spettacolo, Paolo Leone, 23 février 2017
ELOGIO DEL DOPPIO SENSO Sarebbe da tutelare come bene culturale il doppio senso di Gennaro Cannavacciuolo, inteso come materia prima di canzoni e sketch dal café-chantant alla rivista. Anatomia nervosa e disarticolata, ammirevole in come son nervoso, volto segnato da divo del muto, verve tracinante, grandiosamente irresistibile….. Settimanale L’Espresso, Rita Cirio |
Questo repertorio della ribalta cosiddetta leggera evoca il fior fiore del caffè-concerto, dell’avanspettavolo e della rivista e permette ad un fantastico fantasista come Gennaro Cannavacciuolo di dare grazia ai linguaggi rossi d’antan. La Repubblica, R. Di Gianmarco |
UNO SPETTACOLO DA OVAZIONE Strepitosa performance di Cannavacciuolo. Solo sulla scena, è uno strepitoso mattatore, ammiccante, divertente e divertito, mai volgare, sfoggia un’eleganza ed una classe degna dei blasonati artisti d’altri tempi, esercizi di stile sconosciuti all’odierno show business…. Il Corriere di Firenze, M. Predieri |
STREPITOSO CANNAVACCIUOLO Strepitoso Gennaro Cannavacciuolo. Canta, balla, recita, con classe ed eleganza, riporta in vita l’epoca oro del caffè-concerto, della rivista, dell’avanspettacolo. Quella cultura povera ma bella, fatta di ammiccamenti, doppi sensi, poesia… Successo trionfale La Repubblica, M.S. |
UNA STREPITOSA ANTOLOGIA AL PICCOLO L’eleganza o c’è o non c’è. Non si può imparare. E non l’ha imparata da nessuno se non da se stesso Cannavacciuolo, mattatore, fine dicitore, chansonnier, fantasista: una corrispondenza di spiritosi sensi con il pubblico. Successo? Di più. Complicità immediata, incondizionata, ammirata. La Sicilia, Catania, C. Celi |
IL CICLONE CANNAVACCIUOLO E LE “SERATE NERE” Un ciclone di comicità si è abbattuta sulla Sala Tripcovich. Naturalmente parliamo di Cannavacciuolo: la sua arte passa attraverso questa scuola di attori, cabarettisti, fantasisti di robusto stampo che riescono a reggere, da soli, il palcoscenico per una serata…. Il Piccolo, L. Bamboschek |
Con originale vis interpretativa e con vincente personalità, il cantautore partenopeo mantiene alta la curva d’attenzione del pubblico per l’intera durata dello spettacolo Corriere del Mezzogiorno, S. de Stefani |
L’attore trionfa tra gorgheggi e lustrini: tra garbo, intelligenza, ironia e molto affetto. Dotato di una innegabile versatilità, l’attore suscita simpatia, spinge lo spettatore alla partecipazione. Il Tempo, T. Scaroni |
Quando a salire sul palcoscenico è un artista come Gennaro Cannavacciuolo ci si aspetta qualcosa di unico, uno spettacolo fuori dal comune: e le aspettative di chi ha voluto rivedere al Teatro Garibaldi di Modica quell’ironico e commovente napoletano di “Volare” della scorsa stagione teatrale, non sono rimaste insoddisfatte. Giornale di Ragusa, Massimiliano Pace. |
E la bravura del cantante attore, non a caso allievo di Pupella Maggio, come nel migliore avanspettacolo, è anche quello di interloquire con il pubblico, strigliandolo, facendolo intervenire ripetutamente e anche ridicolizzandolo, ma sempre con bonomia, una capacità che molti attori di oggi sembrano non essere più in grado di fare. Nel suo genere, quasi un capolavoro. Punto Elite, Alex Miozzi |
Quando a dar voce alla città è un professionista di lungo corso come Gennaro Cannavacciuolo, garantito che il biglietto è speso bene. Egli porge il testo al pubblico, non lo impone. Serve la pietanza agli spettatori, senza mai diventare servitore: quanta dignità, quanto mestiere ha accumulato in anni e anni di palcoscenico! E poi con gli anni ci si guadagna in leggerezza, nel senso più nobile del termine: via i panni vecchi della quarta parete, largo al dialogo diretto col pubblico. Ogni sera una platea reattiva, allegra e disposta al gioco. Miracolo? Macché, è il talento del primattore che riesce a metterli a proprio agio. L’improvvisazione è una disciplina che si impara col tempo: Cannavacciuolo, dopo trent’anni e passa di esperienza, ha la battuta sempre pronta, non si lascia mai spiazzare. Saltinaria, Francesco Mattana
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Cannavacciuolo è un uno di spettacolo di gran classe. Sa tenere la scena da solo, interpretando parti di uomo, di donne, di uomo effeminato e viceversa), sempre con spirito, con allusioni salaci ma simpatiche, con una mimica insuperabile e con quella cadenza canora che non sai mai se è una canzonatura o un amabile sorriso. La Sicilia, Sergio Sciacca
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Due ore di spettacolo all’insegna della buona musica e della simpatia travolgente di questo grande attore e cantante che lascia infine il pubblico che lo ha letteralmente osannato. D di Donna, Laura Cavallaro |
Lo show che Gennaro Cannavacciuolo presenta, coinvolge e, con elegante arguzia, incuriosisce lo spettatore. Col sorriso, l’interazione del pubblico consente di abbattere la quarta parete della comunicazione teatrale: interprete e platea si legano e, insieme, vivono le evoluzioni di un dialogo in continuo divenire. Gustiamo l’amaro e il dolce della sorriso; la bellezza e il dolore del sentimento; la gioia e la tristezza che si nasconde dietro un gesto o una parola. Ci nutriamo di un passato che ancora ci regala emozione e, anche quando racconta il doppio senso e l’allusione, conserva l’eleganza e il rispetto. In to the stage, M. Londo |
Senza rancore, io sono l’amore. Questo, il messaggio che erutta come lava sensuale dal vulcano Gennaro Cannavacciuolo. E’ amore suo per l’arte. E’ amore suo per il pubblico che non tarda a coinvolgersi in modo totale…. Gennaro Cannavacciuolo totalmente padrone del suo essere e del nostro. La Notizia H24, Veronica Meddi |
Con Gennaro Cannavacciuolo l’avanspettacolo diventa momento di grande cultura, raffinatezza, elevazione. Consigliamo a tutti, senza distinzioni di età, di attingere a questo particolare albero della conoscenza, per macchiarsi del Peccato offerto dal grandissimo Cannavacciuolo. Contrappunti, Leonardo Masucci |
La carta vincente di Cannavacciuolo è la rara abilità di strappare al pubblico più di una risata, con stile e raffinatezza, sapendo dosare con equilibrio il “dire e non dire”[…] una mimica esilarante […] Cannavacciuolo si destreggia con maestria in diversi ruoli, camaleonticamente interpreta vari ruoli, con vari cambi di registro […] l’eclettismo di Cannavacciuolo è sorprendente CloseUp, Sarah Mataloni |
Una serata culturale di qualità e di pura intelligenza. Incollati alle poltrone, il tempo scorre senza sentirne la pesantezza. Divertirsi è imperativo. E tutto fuorisce dalla sapiemza e dalla classe di chi si esibisce per incantare. Brainstorming Culturale Magazine, Annalisa Civitelli |
Divino: non ci sono altre parole per descrivere il grande Gennaro Cannavacciuolo ed il suo Peccato erotico. Corriere dello Spettacolo, Flavia Severin |
Cannavacciuolo nel “Peccato erotico”: l’unico vero peccato è non vederlo. Media e Sipario, Stefania Ioime |
Cannavacciuolo è poliedrico, strepitoso mattatore, ammiccante e coinvolgente, divertente e divertito, mai volgare, elegante e fantasista. Non si può che rimanere incantati. Saltinaria, Serena Lena |
Depuis 1996, Gennaro Cannavacciuolo est amené a interpréter des rôles brillants dans différentes opérettes lyriques. De manière continue pour le Teatro Lirico Giuseppe Verdi de Trieste, mais aussi pour le Politeama de Prato, le Teatro Lirico Verdi de Salerno, le Teatro San Carlo de Napoli, le Teatro Verdi de Pisa et le Teatro Carlo Felice de Genova.
Ses interprétations sont continuellement acclamée par le public et la critique et en 2002 il reçoit le prix "Trieste Operette".
La Veuve Joyeuse, de Viktor Léon et Leo Stein, musique de Franz Lehár: de 1997 à 2016 sous différentes mise en scène et notamment celles de: Gino Landi, Simona Marchini, Federico Tiezzi, Vittorio Sgarbi. L'édition 2014-2015 a été dirigée par Daniel Oren. Productions: Teatro Lirico San Carlo (Napoli), Teatro Lirico Carlo Felice (Genova), Teatro Lirico Giuseppe Verdi (Trieste), Arena di Verona, Teatro Verdi di Salerno;
Scugnizza, di Carlo Lombardo, musica di Mario Costa, regia di M. Scaglione;
Cin-ci-là, di Carlo Lombardo, musica di Virgilio Ranzato, regia R. Croce;
La principessa della Czardas, di Leon Stein e Bela Jenbach, musica di Emmerich Kalman, regia di G. Landi;
Rosemarie, di Otto Harbach e Oscar Hammerstein, musica di Rudolf Friml e Herbert Stothart regia di I. Stefanutti;
Contessa Maritza, di di J. Brammer e A. Gruenwald, musica di Emmerich Kalman regia di L. Mariani.
Citons Eduardo De Filippo, dans l’ordre du jour de son théâtre, en 1981: «Je remercie Gennaro Cannavacciuolo de sa collaboration, et surtout de son engagement, ainsi que de la manière éminemment professionnelle avec laquelle il a su faire face à des situations imprévues; c’est le début d’un long parcours …».