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Figaro o le disavventure di un barbiere napoletano

Le rôle est confié à un excellent Gennaro Cannavacciuolo qui a donné à Figaro un peu de Dulcamara et un peu de Pulcinella, sage et opportuniste, la verve scintillante d'un fils du peuple, mais pourvue d'une touche artistocratique innée, typique des napolitains.

Paolo Lucchesini, La Repubblica, 01.04.90

 

Le Figaro créé par Gennaro Cannavacciuolo a une gestualité imposante et agile en même temps, celles des personnages populaires et rusés, contraints d'utiliser la diplomatie de par leur vécu.  L'action au un rythme soutenu et fascinant caractérise le spectacle et surtout Cannavacciuolo.

Leonardo Sole, La Nuova, 25.03.90

 

Figaro, ça décoiffe! Bravo! Comique, populaire et raffiné […] Gennaro Cannavacciuolo est d’une drôlerie irrésistible, aussi léger et imprévisible que sa voix est généreuse. On rit beaucoup beaucoup, mais l’émotion est aussi présente, délicate et demi-teintée.

Jacques Leleu, Le Chambéry, 23.11.89

 

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Gilda

L’inventivité linguistique est le grand atout de ce texte que Cannavacciuolo restitue très bien. Standing ovation.

U.S, Il Messaggero, 19.12.88

 

Gennaro Cannavacciuolo, acteur déjà connu pour avoir travaillé  avec Pupella Maggio, Luca de Filippo, Gina Lollobrigida interprète ici un rôle féminin. Le résultat est excellent, là où la fiction se manifeste jsuqu'au bout, sans exagérations ambiguës ou excès psycologiques: un pur divertissement où l'invraisemblable univers féminin de Cannavacciuolo devient la raison principale de l'hilarité que suscite constamment le spectacle.

Stefano de Stefano, Paese Sera, 04.11.88

 

Le voyage de Gilda vers le succès. Proganoniste affirmé de “Un cilindro un fiore un frac”, Cannavacciuolo a fait ses débuts en 1989. Il a travaillé aux côtés de Pupella Maggio et, pendand sept ans, dans la compagnie de Eduardo et ensuite de Luca de Filippo . Puis le grand saut: après ces grands classiques, Cannavacciuolo a approché les auteurs contemporains. Même le cinéma et la télévision ont capturé Cannavacciuolo…. Un curriculum qui mérite du respect…

Stefania De Bonis, Il Giornale di Napoli, 02.11.88

 

Un grand succès qui a débuté et continue avec des sold-out: le texte inédit “Gilda”. Cannavacciuolo a su conquérir son public comme il avait d'ailleurs déjà su faire avec “Ti darò quel fior” qui a dépassé 500 représentations.

Bruno Chiavari, Il Messaggero, 09.09.88

 

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L’alba, il giorno, la notte

Gennaro Cannavacciuolo, excellent, raffiné...

Paolo Petroni, Corriere della Sra, 28.02.90

 

Les acteurs, un brillant Gennaro Cannavacciuolo et une Lucia Ragni auto-ironique, ont surtout le mérite de se lancer dans toutes sortes de jeux d'esprit en conservant constamment la juste mesure.

Rita Sala, Il Messaggero, 24.02.90

 

Les interprétes Gennaro Cannavacciuolo et Lucia Ragni déchaînent les fous rires. Ils n'auraient pu être meilleurs et aimables.

Masolino d’Amico, La Stampa, 23.02.90

 

… nous avons ici un excellent Gennaro Cannavacciuolo.

Rodolfo di Giammarco, La Repubblica, 23.02.90

 

Lucia Ragni et Gennaro Cannavacciuolo: deux acteurs excellents.

Vittorio Morelli, Corriere della Sera, 21.02.90

 

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Cafè Champagne

Chansons napolitaines, comédie, très grand professionalisme. Gennaro Cannavacciuolo est en grande forme, il passe des gags napolitains aux mises style Josephine Baker. 

C.L., La Nazione, Carrara

 

Gennaro Cannavacciuolo est irrésistible. Succès assuré!

La Nazione

 

Gennaro Cannavacciuolo fait partie des tous grands de la meilleure tradition napolitaine et lorsqu'il chante il est irrésistible.

Roberto Incerti, La Repubblica

 

Le public ne se lasse pas d'applaudir. Gennaro Cannavacciuolo, grand transformateur, porte dans son regard la lumière magique dans Charlot.

Carmelo Alberti, La Nuova

 

Succès pour Cafè Champagne. Cafè et Champagne offerts avec une bravoure irresistible part Gennaro Cannavacciuolo, continuellement rappelé sur scène.

Paolo Accattatis, La Repubblica, Venezia

 

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Il mio nome è Milly - histoire d'une star - 2014 - 2018

Dans ce spectacle, Gennaro Cannavacciuolo raconte et chante la vie artistique et privée de Milly.

Le récital trace en deux temps une biographie avec les chansons les plus représentatives de l’actrice - chanteuse piémontaise, chaque chanson étant choisie pour souligner un moment significatif de sa vie et de sa carrière.

Dans un cadre scénographique élégant avec des éclairages décroissants, le fond principalement noir consiste en très grandes photographies retraçant les divers moments de la vie de Milly, que Gennaro manœuvre aux moments-clés de son récit. On commence avec varietà degli Anni 20 sur les notes de “Era nata a Novi”, puis “Le rose rosse”, “Donne e giornali” et “Mutandine di chiffon”. On passe ensuite au flirt entre Milly et le Principe Umberto, ainsi qu’à l’amour désespéré de Cesare Pavese, jamais partagé par l’artiste, et dont elle reçut des lettres enflammées. Viennent ensuite les notes de “Parlami d’amore Mariù” qui signalent la rencontre avec Vittorio De Sica, dont sortira une éternelle amitié.

Le premier temps s’achève sur un revival de la période française évoquée par “Milord” et deux chansons de Jacques Brel dont “La Valse”.

Avec « Si fa ma non si dice », son cheval de bataille, le deuxième temps s’ouvre sur la rencontre avec Strehler, racontée par quelque unes des chansons les plus significatives de Brecht, dont “Ballata della schiavitù sessuale”, “Surabaya Johnny” et la “Ballata di Mackie Messer”.

Puis, un morceau récité de « L’Istruttoria » de Peter Weiss (procès d’Auschwitz à Francfort), texte interprété par Milly pour la première fois en Italie, rencontrant un grand succès.

Le spectacle continue sur le thème de l’heureuse rencontre avec Filippo Crivelli qui créera pour elle le célèbre « recital » dans lequel Milly, outre qu’elle chante un brillant répertoire de variété, introduit celui de Brecht-Weill et les textes les plus significatifs des chanteurs et musiciens des années 60-70, tels que Endrigo, Lauzi, De Andrè, Aznavour et Piazzolla, ici reproduits avec une intensité croissante.

 

Auteur: Gennaro Cannavacciuolo

Piano: Dario Pierini

Sax-clarinette: Andrea Tardioli

Violoncelle: Francesco Marquez

Production: Elsinor

Lumières: Michele Lavanga

Ingégneur du son: Alfonso D'Emilio

 

Milly a beaucoup chanté “en tant qu’homme”, et en reprenant ses chansons il s’agit, pour Cannavacciuolo, d’une sorte de déplacement in situ, avec orgueil, respect et profonde humilité.

L’abstraction est pour moi le caractère essentiel de cet artiste, qui s’exprime par le chant et le récital. Gennaro Cannavacciuolo demeure en un endroit mystérieux, aux confins de l’abstraction et de l’émotion. Il a le don de chanter consciencieusement, et d’accorder une extrême attention à son expression et la manière de s’exprimer. La rencontre entre Gennaro Cannavacciuolo et Milly donne des résultats extraordinaires… Cannavacciuolo donne à sa présence l’aspect d’un rêve, en feignant une distraction qui en fait est un ornement, une grimace, ressemblant à ce dont étaient capables Totò, Eduardo et en dernier Massimo Troisi. La Repubblica, Alvise Sapori

 

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